La Tendresse de Dieu
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Tome 1/2 - Françoise - Préface - Messages de conversion des coeurs

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Tome 1/2 - Françoise - Préface - Messages de conversion des coeurs  Empty Tome 1/2 - Françoise - Préface - Messages de conversion des coeurs

Message  Admin Dim 26 Aoû - 8:28

Tome 1.2


Jésus te dicte: lorsque l’âme s’abandonne à la grâce, Je lui donne de Me posséder dans son coeur de façon merveilleuse. Ainsi fais-Je avec toi, petite enfant…
Certes, le temps t’a paru long avant que Je te nourrisse autant que tu le désirais (et que Je le désirais), car il Me fallait ton abandon total.
Le démon se déchaîne toujours sur Mes bien-aimés afin de les empêcher de se livrer totalement à la divine grâce de Dieu. Bientôt il ne restera aucune trace de ces longues souffrances que tu as subies, car ton coeur connaîtra la joie divine de vivre pleinement en Dieu. Enlève tes derniers doutes, tes dernières craintes, tes dernières inquiétudes, et ainsi Je te consolerai de cette purification longue et douloureuse. T’ai-Je purifiée davantage que d’autres? Dans un sens, oui, car Je désirais te donner beaucoup, et pour cela Je te voulais toute à Moi, le Christ. Parfois les purifications sur la terre sont douloureuses pour l’âme qui aime beaucoup, car le démon s’acharne avec fureur sur celle-ci, davantage que sur une âme qui n’a pas encore le désir de Dieu de façon extrême.
Oui, tu étais faible et Je t’ai fait porter beaucoup, mais de cette purification nécessaire sortira beaucoup de bien. Qu’est-ce que la purification de l’âme? C’est une période
pendant laquelle l’âme doit assurer sa foi et sa démarche vers Dieu, de manière volontaire, malgré Satan qui a certaine liberté de tenter et de faire mal. Je veille, pendant ces instants douloureux, et suis là pour essuyer toute larme et consoler de Mon Amour le coeur attristé de ne pas Me trouver bien fort…
J’attends ainsi la confiance totale, l’abandon et la foi qui feront que Je pourrai Me donner bien davantage encore à l’âme qui Me désire. Et alors, quand cette phase difficile est
passée, Je viens, et fais Ma demeure définitivement dans l’âme qui M’aime.
Oui, enfant, tu peux penser qu’une âme qui aime beaucoup est plus vite purifiée qu’une autre… Eh bien non: car l’âme qui a un grand désir de Dieu est tentée en proportion
de la force de son amour. Cela est juste, car toutes les âmes n’ont pas la grâce d’aimer très fort, et le démon a le droit (limité toujours) de tenter l’âme: c’est ainsi.
Mais ne te rebelle pas devant la longueur de tes souffrances ; d’autres âmes privilégiées ont eu pire, d’autres moins, mais toutes ont été et seront purifiées pareillement (en cela Je veux dire: «justement») en fonction de la force de leur amour. Sache aussi que ces grosses purifications de l’âme ne durent pas chez celui qui aime Dieu de toutes ses forces. Lorsque le moment est venu, Je libère l’âme de toutes ces attaques, lorsqu’elle a montré par sa ténacité, son abandon et sa confiance qu’elle n’appartiendrait qu’à Dieu.
Je sais que ta vie n’a de sens qu’en Moi, le Christ, à présent, et que tu ne pourras jamais plus vivre sans Dieu. Alors Je serai là, en chaque instant, davantage à présent, te donnant de vivre en paix et dans la joie sur la terre qui est devenue ton exil. Sens-toi proche de Moi, davantage que de n’importe quel être humain, et alors tu ne t’inquiéteras pas de rester ici-bas. Vois-tu… personne n’est abandonné, sur cette terre, mais le monde dans lequel tu vis est tellement enténébré qu’il en deviendrait angoissant pour les âmes qui aiment, tant le mal a fait de ravages… Mais Je suis là, Moi, le Christ, et Je garde Mes petits et viens chercher et appeler ceux qui souffrent de l’obscurité.
Mon règne arrivera, et alors, la terre sourira à nouveau et tout mal sera vaincu.
Plus tu seras abandonnée à Mon Sacré Coeur en ayant foi en Mon Amour infini, plus tu connaîtras ton Dieu qui brûle de se dévoiler aux âmes fidèles.
Sens-toi Mienne vraiment, petite âme: en Moi tu trouveras tendresse et consolation à toute peine, à tout chagrin. Je suis là, près de toi, et attends ton regard de foi et de confiance.
Jésus

Lundi 24 juillet 1995

Jésus te dicte: si l’âme désire son refuge en Mon Sacré Coeur, Je la bénis et l’attends avec joie. Viens, petite âme, viens pour la vie éternelle, et ton Dieu te choiera de tout Son
Amour. Quand les âmes peu enclines au péché (dans le sens qu’elles l’abhorrent) se destinent à Mon service, Je les entraîne au plus profond de Mon Coeur Divin, Me réjouissant de leur faire partager tout de Moi. Toi qui désires Me regarder en tout instant, afin de connaître la joie pure et merveilleuse de l’âme unie à Dieu, viens, abandonne-toi de ton mieux. Je t’ai bénie et t’ai retrouvée: Je Me complairai en toi et tu te réjouiras en Moi: Je ferai Mon chemin en toi et tu Me serviras avec loyauté et fidélité. J’élaguerai
tes branches et te ferai parvenir à la joie suprême d’être enfant de Dieu. Quand tu Me demandes sans cesse un coeur qui aime et M’adore, Moi, le Christ, enfant, tu fais Mon bonheur, ne te préoccupant que de ressentir la brûlure de Mon Esprit Saint (et n’écoutant rien de ce que Je te dis tant que Je n’ai pas accédé à ta demande). Je te bénis, petite âme, d’avoir accepté la grâce divine que Je t’ai offerte, à savoir: n’être qu’un coeur embrasé par l’Esprit Saint et n’attendre de Moi, ton Dieu, qu’un feu d’amour plus important encore. Parfois Je te laisse un peu plus «tiède» et Je ne manque pas de te voir «t’ennuyer» et t’écrier: «mais mon Dieu, donne-moi un coeur qui brûle…» Sais-tu, petite enfant, quel désir ardent pour le Christ J’ai mis en ton coeur, Moi, l’Esprit de Sainteté? Non, tu ne le sais pas encore…
Brûle, brûle, petite âme: réjouis-toi d’avoir un coeur qui brûle d’amour, car ton Dieu te donnera de connaître Son Coeur avec tous Ses trésors.
Que la confiance et la paix règnent en ton âme. Je te bénis.
Jésus

Jeudi 27 juillet 1995

Jésus te dicte: lorsque tu as foi que Je peux tout en l’âme qui M’aime, Je te bénis et te fais connaître Mes désirs pour toi. Je t’ai dit, il y a bien longtemps: Jésus ne demande jamais à l’âme quelque chose qui l’attriste. Tu M’as écouté alors, mais pas entendu… Il t’a fallu dix-huit mois pour commencer à Me comprendre. Je t’ai bénie, et aimée, durant ce temps…
A présent, sache que lorsque Je parle à une âme, Je lui donne l’entière vérité, que Je Suis. Si Je te demande quelque chose, Je te rends heureuse de le faire: il Me suffit que tu Me donnes ton coeur avec une confiance absolue; alors, Je fais tout en toi et te rends heureuse de Me servir. Tant que l’âme doute de Mon Amour, en s’inquiétant, c’est
que le malin la tourmente parce qu’elle n’a pas la confiance absolue en Moi, le Christ. Quand tu fais le pas de conversion totale que J’exige de toi, tu corresponds à la grâce divine, te mettant dans la réceptivité que Je nécessite pour entrer en toi.
Si tu dors, dans ton âme, Je t’éveille, pourvu que tu Me le permettes. Je t’aime et te garde dans Mon Sacré Coeur pour la vie éternelle. Quand tu as faim, viens à Moi et Je te nourrirai toujours. Je te purifierai de toute tristesse, par la joie que Je mettrai en toi.
Jésus

Samedi 29 juillet 1995

Quand le soleil brille en toi, c’est que Je t’ai éclairée, Moi, le Christ. Je t’éclaire quand tu es tellement abandonnée à Mon Coeur Divin, que Je ne peux que fondre devant toi, Ma
petite enfant…
Sais-tu? Je vais te reparler de ces fleurs de jardins et de ces fleurs des champs… que Je préfère, tant elles sont petites…
Toi, tu es une fleur des champs, magnifique parce qu’elle est un «moins que rien» et que Je l’ai créée. Tu n’es magnifique que parce que Je t’ai fabriquée, Moi ton Dieu. Tu pousses à l’état sauvage, en toute liberté, et personne ne te nourrit ni ne t’arrose: tu n’es pas une fleur cultivable, si ce n’est par ton Dieu, comme toutes les fleurs des champs. Et ta joie sera de te laisser modeler par ton Dieu en dépit de tout ce qui peut t’arriver, car si aucun jardinier ne prendra jamais soin de toi, tant tu es «sans race» aux yeux du monde, Moi, le Christ, veillerai sur toi avec la plus grande tendresse. Les fleurs des champs sont humbles et cachées : elles vivent là où l’oeil humain avide de tentations terrestres ne va pas: dans la nature, sous le soleil de Dieu. Parfois, une fleur des champs, plus belle qu’une autre, se laisse cueillir par des «yeux amoureux», afin de les consoler et de les apaiser dans leur souffrance. Toi, Ma petite fleur, Je t’ai cueillie, en esprit (car J’ai laissé ta tige sur la terre pour un peu de temps encore), afin que tu apaises ton Dieu de tant de vice et d’impureté de ce monde. Les fleurs des champs sont pures car elles ne savent rien, ne comprennent rien, n’ont envie de rien, si ce n’est de respirer
le soleil de Dieu. Tu es une de celles-là, petite fleur que Je préfère… parmi d’autres.
Pourquoi ton Dieu se donne-t-Il davantage aux âmes «des champs»? Parce qu’elles sont incapables de rien et qu’alors, mues par la vie que Je mets en elles et qui se nomme amour, elles Me donnent de les unir entièrement à Moi, le Christ, par leur soumission à Ma volonté dans la joie de Me correspondre à ce point.
Maintenant Je vais te parler de ces belles fleurs que Je nomme «de race» et qui poussent dans de magnifiques jardins, arrosées et soignées par des mains expertes. Ce sont les âmes fortes, qui ont fait vœu de M’appartenir, et qui sont nourries par les lois de Mon Eglise, dans le sens où elles suivent de manière classique le chemin que J’ai tracé dans la tradition catholique et chrétienne. Elles sont fortes de leur volonté propre, et arrivent, de par leur ardeur, à M’offrir de lourdes pénitences, sacrifices, et croix, tant J’ai mis de force en elles. Les plus belles de ces âmes sont les saints connus, d’ordres religieux bien souvent, qui ont œuvré dans la droite ligne de l’Evangile.
Ces fleurs-là sont reconnues pour ce qu’elles sont : des âmes solides à toute épreuve, et prêtes à tout endurer pour Me plaire et Me décharger de la lourde Croix des péchés du monde. Je les aime divinement et infiniment, ces belles âmes, et Je les nourris de Ma force, afin qu’elles portent leurs frères dans un renoncement total. Tu ne peux comprendre cela, petite âme : tu es trop enfant… ne cherche pas; ce n’est pas à toi que Je M’adresse en dictant ces lignes, c’est aux âmes fortes, qui se reconnaîtront et se sentiront appelées à la joie de Me servir ainsi.
Maintenant écoute : tu as compris que tu étais infime : plus petite encore que beaucoup de Mes petites âmes : tu es la poussière de Mon chemin de Vie ; cela signifie : tu es un peu de la terre qui servira de support aux hommes qui voudront marcher vers Moi. Mais de par ta petitesse, Je viendrai à bout de cœurs durs et forts. Je Me révélerai en toi, Ma petite fleur, de manière surprenante. Ne sois pas inquiète d’être si infime : c’est une grande grâce que Je t’ai donnée là, car si tu étais grande, Je n’aurais pas à Me pencher autant sur toi pour te nourrir et t’abreuver afin de te garder en vie. Dieu brûle de Se donner. Comprends-tu le délice que Je peux avoir en Me regardant dans une âme à laquelle Je donnerai tout, tant elle n’a rien? Comprends-tu que loin de désirer de toi actes de ferveur et sacrifices divers et volontaires, Je n’aspire qu’à tout faire en toi, t’enveloppant de Mon Amour que ton coeur désire tant? Comprends-tu que ce n’est que ton coeur qui a de la force, et que donc tu dois l’écouter, car Je le garde — et Me servir en ne faisant que M’adorer, Moi, le Christ?
Comprends-tu que Je t’ai choisie pour être le signe de Ma tendresse infinie, parce que tu es si petite que tu correspondras à la grâce divine en tout ce que Je te donnerai?
Et comprends-tu que Je brûle de Me donner aux âmes en Ma bonté infinie, en Ma douceur et en Ma tendresse illimitées, et que ce n’est qu’en trouvant un instrument minuscule
et dépourvu de tout, que Je peux Me manifester? Comprends cela, Ma petite âme choisie, et tu verras alors combien le Christ est grand de par Son humilité, pour venir
supplier les hommes de Le laisser les rendre heureux, éternellement.
Je te bénis.
Jésus

Lundi 31 juillet 1995

Jésus te dicte: quand la nature s’éveille, le matin, sous le soleil, tout est joyeux, car la journée s’annonce, et les animaux et les plantes sont heureux de louer Dieu à leur manière, par la vie qu’ils ont en eux. Alors, les oiseaux fredonnent des airs gais, les insectes bourdonnent en cherchant leur nourriture, les animaux des prés et des champs sillonnent la végétation afin de vaquer aux occupations que Je leur ai données.
Pour les hommes, c’est la «même chose»: Dieu a donné vie aux êtres humains, afin qu’ils s’éveillent dans la joie de contempler leur nouvelle Si parfois les matins sont tristes, c’est parce que l’âme n’a pas atteint la maturité nécessaire pour être en Dieu, heureuse et amoureuse. Je dois former ton âme doucement et sûrement, afin de la nourrir comme Je la désire, de tout Mon Amour. Comme les arbres se forment lentement, faisant d’une tige fragile un tronc bien droit et ferme pour supporter les branches et les fruits, Je te solidifie pour que tu ne puisses jamais t’écrouler. Je sais que tu es triste. Je le suis aussi de te voir ainsi, dans cet état. C’est parce que tu as accepté de porter Ma Croix que le démon se déchaîne contre toi aujourd’hui ; mais n’aie crainte : le temps que Je lui ai alloué pour te tenter touche à sa fin. Confiance et foi: voilà les deux mots-clés de ta guérison. Confiance en Moi, Jésus-Christ, qui te dis cela et t’aime de Mon Amour infini. Confiance et foi que Je permets ces épreuves et te débarrasserai de toute tristesse lorsque Je l’aurai décidé. Mais si tu avais confiance que Je suis là, entièrement et amoureusement, tu ne serais pas si sombre. Quand les arbres fleurissent, ils oublient qu’ils ont été taillés pour porter beaucoup de fruit. Ils sourient alors et chantent louange à Dieu par leur beauté. Toi aussi, petit arbre en fleurs qui bourgeonnent, tes fleurs s’ouvriront bientôt réjouissant Mon Coeur Divin et le tien. Mon enfant bénie, Je veux que tu saches que Je te donnerai le sourire à partir du moment où tu auras compris que Je ne
laisse jamais une âme qui M’aime dans la tristesse, et encore moins l’âme qui Me fait don de sa vie. Beaucoup de saints ont eu Ma joie, et pourtant seuls ceux dont le coeur se mourait sans Moi ont eu la joie profonde et merveilleuse de connaître les secrets de Mon Sacré Coeur. Alors bondis de joie, petite âme, de te laisser mourir involontairement,
sans ton Christ pour te soutenir, car tu connaîtras les trésors de grâces que Je ne dévoile qu’aux tout-petits comme toi. Quand aurai-Je le courage de te laisser endurer l’épreuve
sans ressentir terriblement la peine dans Mon Coeur? Jamais, petite enfant, tant le Christ aime Ses agneaux. Au «ciel», tu comprendras cela…
Si tu essaies de regarder ton coeur en Dieu, tu t’apercevras que Je le garde et lui donne Ma paix. Je te bénis d’avoir retrouvé la joie de te savoir Mienne. Viens, Mon petit agneau: Je te porterai, toi qui ne sais tenir sur tes membres. Je te porterai et tu vivras. Cette faiblesse que tu as est une grâce lorsque ton coeur ne fait que me désirer, Moi, le Christ, car alors tu as la place de choix de l’agneau que Je tiens dans Mes bras tant il est sans défense. Sois cet agneau, toujours, par ton amour démesuré pour Moi, petite enfant, et Je me réjouirai de te combler de Ma tendresse en te portant. Pour tout ce que Je ferai pour toi, te choyant malgré les embûches de tes ennemis, Je ne te demanderai que de M’aimer aussi fort que tu le pourras. Je t’aime et te bénis de M’avoir compris.
Jésus le Christ

Mardi 1er août 1995

Jésus te dicte: lorsque tu as la paix en toi, réjouis-toi car Je Me dévoile à ton âme. Si tu as le désir de marcher à la suite du Christ, tu dois Me laisser affermir tes pas.
Si Je te porte, comme Je porte l’agneau sans forces, Je te demande de Me faire confiance en tout. Puisque tu préfères être dans les bras de ton divin Maître au lieu de marcher à Sa suite, viens: Je te porterai, mais tu devras Me laisser encore plus libre en toi que la brebis qui Me suit (image du bon Berger portant un agneau et suivi par des brebis).
Vois-tu? Les brebis qui Me suivent ont assez de force pour marcher sans s’écarter du chemin; et elles ont cependant certaine liberté de brouter ci et là en Me rejoignant ensuite.
Toi, petit agneau, si Je te porte dans Mes Bras, Je ne te déposerai pas pour que tu Me suives en te «promenant» : tu seras nourrie par Moi, le Christ, et ne pourras t’exposer aux dangers de la route librement. L’agneau que Je tiens contre Mon Coeur… Je ne le lâche pas : il a la place de choix de par sa faiblesse, mais Je ne le quitte pas.
Es-tu disposée à ne pas t’écarter de Moi, à Me laisser totalement libre de Mes pas avec toi? Alors Je bénis ton oui, mais tu devras M’obéir en tout, enfant…
J’ai vaincu ton coeur, Ma petite fleur…
Sais-tu combien Je suis heureux? Eh bien pour la première fois, tu as répondu «oui» à Mon Coeur divin sans aucune crainte, en Me donnant ton coeur. Puisque tu M’as fait ce cadeau, Je te donne d’ouvrir les yeux à la grâce que Je te fais de te nourrir aussi fort. Vois-tu? La fleur desséchée de lavande produit du parfum après sa «mort». Il en est de même pour les âmes que Je choie spécialement; cela s’appelle: odeur de sainteté. Je peux donner ce trésor aux âmes qui ne vivent que par et pour l’Amour, enfant…, ce qui n’est pas «habituel» dans les âmes…
Les saints ont leur «odeur de sainteté» après leur mort, dans le sens où ils sont connus et appréciés pour le don de leur vie sur terre. Mais en ce qui concerne l’odeur de sainteté qui se révèle aux sens physiques humains, Je ne l’accorde qu’à des âmes capables de Me donner l’amour pur; rien d’autre : l’amour seul.
Quand la fleur parfume les lieux après sa mort, comme la lavande, c’est parce qu’elle vit encore sur la terre, par ce parfum que le Créateur lui donne. Certaines fleurs flétrissent et pourrissent. Pour les âmes, Je fais ainsi, aussi : certaines âmes resteront encore un peu sur la terre par leur corps qui exhalera le parfum de la pureté, avant d’être inhumé. C’est un cadeau du Créateur à l’homme qui s’est offert totalement à Lui, dans le plus pur amour. La lavande est une fleur sauvage qui pousse dans les montagnes, bien souvent, dans l’air pur et directement élevée par le soleil de Dieu. Personne ne l’écrase, dans ces montagnes isolées; personne ne la touche ni ne la salit: elle demeure une
fleur pure. De même en est-il pour l’âme qui vit dans le silence de Dieu, se contentant de Me laisser entièrement vivre en elle. Certaines âmes deviennent si pures, se mourant à elles-mêmes, que Je leur donne ce parfum du corps qui ne pourrit pas, parce qu’elles ont mis leur corps à Mon service autant que leur âme, se dépouillant de tout vice ou saleté, ne se laissant souiller par aucun air vicié. Ce sont Mes fleurs de lavande sauvage, en quelque sorte. Comprends-tu? «Je suis un Amour» Me dis-tu… Oui, Je suis l’Amour, incompris et haï. Soulage-Moi, petite fleur, en étant dans la joie d’être une enfant si pure à Mes yeux divins, et console-Moi par ta franchise et ton intimité avec Moi, le Christ: Je le veux de toi ainsi. Je te bénis en te disant: appartiens-Moi totalement par la confiance que Je mettrai en toi pour Moi, et Je ferai Mes délices en toi, petite âme!
Jésus

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